renifle |
Sans vouloir me plaindre:
Je suis dans un état proche de l'Ohio. J'ai la crève, des ganglions de la taille de mon poing, le nez irrité, les oreilles bouchées, un manque de sommeil due à des simili-insomnies (1h45 pour s'endormir, c'est beaucoup trop), et un moral en berne (comme Stéphane, oui Ada).
Cette rentrée est l'une des plus détestables que j'aie connue depuis 15 ans (oui je fais partie de ces martyres qu'on a traînés sur les bancs de l'école à 2 ans)(soit 24 mois, soit un nourrisson, un être qui n'existe pas, le néant sous forme de petite fille). La terminale, c'est pas une blague on dirait.
La notion de devoir a recouvré un sens concret (non parce que la 1L, c'est une première de glandeur, faut pas se voiler la face, on n'a rien branlé pendant un an), le niveau a sensiblement évolué et les exigeances des professeurs aussi. J'ai un peu de mal à accuser le choc, quoique j'aie confiance en mes capacités de travailleuse acharnée (et en mon sale caractère : si je veux quelque chose, je l'ai).
Je suis dans un état proche de l'Ohio. J'ai la crève, des ganglions de la taille de mon poing, le nez irrité, les oreilles bouchées, un manque de sommeil due à des simili-insomnies (1h45 pour s'endormir, c'est beaucoup trop), et un moral en berne (comme Stéphane, oui Ada).
Cette rentrée est l'une des plus détestables que j'aie connue depuis 15 ans (oui je fais partie de ces martyres qu'on a traînés sur les bancs de l'école à 2 ans)(soit 24 mois, soit un nourrisson, un être qui n'existe pas, le néant sous forme de petite fille). La terminale, c'est pas une blague on dirait.
La notion de devoir a recouvré un sens concret (non parce que la 1L, c'est une première de glandeur, faut pas se voiler la face, on n'a rien branlé pendant un an), le niveau a sensiblement évolué et les exigeances des professeurs aussi. J'ai un peu de mal à accuser le choc, quoique j'aie confiance en mes capacités de travailleuse acharnée (et en mon sale caractère : si je veux quelque chose, je l'ai).
J'ai perdu l'Amoureux, mais on n'en parle pas (parfois je me sens un peu seule, quand même).
Ma prof de littérature est molle du genou et flasque du cerveau (quoique gentille).
J'ai un putain de problème de mails et de spams que je ne sais pas régler.
Et mon blog est de nouveau en friche.
Je vous laisse imaginer mon degré d'euphorie sur l'échelle de Richter (ah non, pas celle-là)