retrouvailles |
Un après-midi sous la pluie avec elles, des petits pains encore chauds dévorés avec un plaisir indicible, des câlins et des fous rires : juste l'euphorie des retrouvailles.
Plus d'un mois et demi que je ne les avais plus vues. Bien sûr il y avait eu les lettres de Clémence et de Jeanne, bien sûr MSN aidait à prendre entre deux siestes de leurs nouvelles, mais rien ne vaudra jamais le plaisir de crier sur le quai du Tram "C'EST ELLES, ELLES SONT LA !" et de courir vers elles, et de les prendre dans vos bras, fière devant tant de personnes d'être leur amie.
J'en tremblais : de joie.
On avait prévu l'arrivée de Prescilla pour 17h45 : elle a déboulé sur la rue du S.auvage avec 20 minutes d'avance - pour une fois...
Et puis j'ai ri, tellement ri : à m'en décoller les poumons. J'avais oublié cette sensation grisante de l'après fou-rire ; le sourire qui continue de flotter sur vos lèvres, la cage thorassique comme soulagée, et puis expirer, pour retrouver son sérieux et ne plus sombrer dans la folie du rire - la frontière entre ces deux états semble toujours si ténue...
Je les aime. Avec leurs défauts (menus), leurs caractères et sautes d'humeur, avec leur rapport aux temps si différents de l'une à l'autre (de l'une aux autres, plutôt). Et puis je les aime surtout pour leur sourire, et leurs yeux qui brillent, je les aime parce qu'elles me font rire, parce qu'elles m'aident à aimer vivre, sincèrement. Des amies, quoi. Des vraies.
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Plus d'un mois et demi que je ne les avais plus vues. Bien sûr il y avait eu les lettres de Clémence et de Jeanne, bien sûr MSN aidait à prendre entre deux siestes de leurs nouvelles, mais rien ne vaudra jamais le plaisir de crier sur le quai du Tram "C'EST ELLES, ELLES SONT LA !" et de courir vers elles, et de les prendre dans vos bras, fière devant tant de personnes d'être leur amie.
J'en tremblais : de joie.
On avait prévu l'arrivée de Prescilla pour 17h45 : elle a déboulé sur la rue du S.auvage avec 20 minutes d'avance - pour une fois...
Et puis j'ai ri, tellement ri : à m'en décoller les poumons. J'avais oublié cette sensation grisante de l'après fou-rire ; le sourire qui continue de flotter sur vos lèvres, la cage thorassique comme soulagée, et puis expirer, pour retrouver son sérieux et ne plus sombrer dans la folie du rire - la frontière entre ces deux états semble toujours si ténue...
Je les aime. Avec leurs défauts (menus), leurs caractères et sautes d'humeur, avec leur rapport aux temps si différents de l'une à l'autre (de l'une aux autres, plutôt). Et puis je les aime surtout pour leur sourire, et leurs yeux qui brillent, je les aime parce qu'elles me font rire, parce qu'elles m'aident à aimer vivre, sincèrement. Des amies, quoi. Des vraies.
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Peut-être aurez-vous remarqué qu'actuellement, il est impossible de laisser des commentaires. C'est normal. C'est moi qui les ai supprimés. Non pas que vous ne soyez pas les plus adorables lecteurs du monde (je vous aime tant), mais j'en viens à ne plus blogger que pour avoir des commentaires, et ce n'est pas pour cette raison que je veux blogger. Je ne veux plus être en attente et revenir déçue ni craindre de tomber sur des commentaires qui puissent me faire mal. Pour le moment.
Et puis vous pouvez toujours m'écrire à luciechou(at)yahoo.fr
Et puis vous pouvez toujours m'écrire à luciechou(at)yahoo.fr
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P.S : Jeanne, petite boucle jolie : <3.